Certaines bandes dessinées, contrairement à ce que d’aucuns pourraient être tentés de croire, méritent, voire nécessitent une seconde lecture afin qu’on en saisisse bien toute l’essence – elle est loin l’époque où, à la manière de Blake et Mortimer, la fonction du dessin consistait simplement à appuyer les textes et les dialogues. Et pour chaque album il y a une raison différente de faire une relecture.
Quelque chose de géant
On appréciera toute la richesse visuelle des planches de Giant1 (Dargaud), le premier d’une série de deux albums de Mikaël. Le Québécois d’adoption s’est fait connaître en signant le dessin de la minisérie Promise, qui a remporté le Grand Prix de la ville de Québec en 2015 . . .
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