Avant de s’enfoncer dans son quatrième roman, Cet été-là (1967), Marie Cardinal s’inquiète. Saura-t-elle un jour se foutre de la littérature et se libérer de l’étau des écrivains qu’elle a d’abord enseignés, et qui maintenant obstruent son passage de l’autre côté du miroir ?
Proust, Flaubert, Dostoïevski, Sartre, Beauvoir qu’elle a lus de façon désordonnée, avide, éclectique l’empêchent d’y voir clair et de tracer son propre chemin.
Le jugement qu . . .
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