Je l’avoue tout de go, j’aime Larry Tremblay. J’aime sa façon de raconter, de dire et de ne pas dire, j’aime sa constance, son audace.
J’aime le rencontrer partout : sur scène au théâtre, au détour d’un recueil de poésie, au cœur d’un livret d’opéra, au fil d’une pensée critique sur l’art et partout, je le reconnais ou peut-être est-ce son double tellement il est prolifique ? Lui, qui s’amuse à inventer des pseudos, des jumeaux et autres soi-m . . .
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