« Moi, c’est moralement que j’ai mes élégances », disait Cyrano. Comme lui, Jean Lemieux pourrait user du pluriel s’il consentait à vanter ses propres mérites.
Tôt tenté par l’écriture, il manifesta avec la même précocité un penchant pour la musique, tout en menant à terme les études de médecine qui fondent aujourd’hui sa pratique professionnelle. Comme si ces divers appétits ne suffisaient pas, les voyages ont prélevé eux aussi leur tribut sur son agenda. Lemieux enchevêtre d’autant mieux les échos de ces multiples intérêts . . .
Pour lire la suite, veuillez vous abonner. Déjà abonné(e) ? Connexion