Véritable cri du cœur, Après Charlie1 ne laissera personne indifférent. Il en ralliera certains, en irritera d’autres.
La dernière chose que recherche sans doute Djemila Benhabib, qui s’est vu décerner en mai 2016 le Prix de la liberté d’expression2 à l’occasion de la Journée mondiale de la liberté de la presse, c’est le consensus mou. Ce même consensus que refusèrent son ami Charb et ceux qui tombèrent avec lui sous les balles des djihadistes lors de l’attentat survenu dans les . . .
Pour lire la suite, veuillez vous abonner. Déjà abonné(e) ? Connexion