Dans En vivant, en écrivant, Annie Dillard disait que tout auteur devrait écrire comme s’il était à l’article de la mort, à des lecteurs qui seraient en phase terminale. C’est dans cet esprit d’urgence que Mathieu Arsenault semble avoir rédigé La vie littéraire1.
Pas à la manière de sa défunte amie Vickie Gendreau, bien que les similitudes dans l’écriture et le ton soient nombreuses. On ne s’y confesse pas. On dit seulement son ras-le-bol, avec tout le venin, toute la . . .
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