Le terme saga, n’en déplaise à l’éditeur de La poussière du temps1 de Michel David, ne peut s’entendre ici que dans un sens dévié. Le Nouveau Littré en témoigne, qui définit ainsi la saga : « Histoire familiale qui se déroule sur plusieurs générations ».
Même si, en effet, Maurice Dionne a empoisonné l’existence de sa femme, puis celles de ses descendants, c’est lui, un lui écrasant, qui donne à ce récit sa triste unité. Maurice est le fléau, dans . . .
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