José Saramago nous a quittés en 2010, et il paraissait improbable que ses héritiers nous fassent le coup du manuscrit découvert au fond d'un tiroir.
Ce n'était guère le genre du grand – mais toujours humble – écrivain portugais ; ni de sa veuve, Pilar del Rio, par ailleurs sa traductrice vers l'espagnol (il faut voir le magnifique film José et Pilar pour sentir toute la complicité qui les unissait), qui n'allait guère priser, aurait-on pu penser, que l'on farfouille trop dans les tiroirs du maître.
Or, rien n'y fait . . .
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