La littérature n’a pas attendu les Russes et les Américains pour « s’envoyer en l’air ». Ni les catastrophes nucléaires, ni le réchauffement planétaire pour se faire post-apocalyptique.
ISAAC ASIMOV (1920-1992). Scientifique pur et dur, grand vulgarisateur, mais surtout auteur de science-fiction, il a marqué à jamais des générations de lecteurs. Mort depuis vingt ans, il occupe toujours le présent, et sans doute aussi le futur ! Asimov, donc, sous la loupe de différents auteurs qui font, lisent ou pensent la science-fiction.
LA FIN DU MONDE. On l’écrit depuis le Déluge et l’Apocalypse bibliques, mais la littérature post-apocalyptique n’a jamais été aussi populaire qu’aujourd’hui, alors que plusieurs scientifiques évoquent le début d’une « sixième extinction ». De grands écrivains s’y sont frottés, s’y frottent toujours. « Pour un peu et la fin du monde passerait pour une bonne chose. Littérairement parlant, elle l’est, c’est certain* » !
Un dossier polyphonique où dialoguent littérature, philosophie, science
*« Échos d’un monde en ruine ».
Ils ont apporté leur précieuse contribution à ce dossier spécial. L’équipe de Nuit blanche les remercie chaleureusement : Roland Bourneuf, Jean Pettigrew, Patrick Bergeron, Jean-François Lisée, Laurent Laplante, Élisabeth Vonarburg , Jean-François Chassay, Héloïse Côté, Daniel D. Jacques, Cyrille Barrette, Renaud Longchamps, Mathieu-Robert Sauvé et Natacha Vas-Deyres.