« My daddy was a bankrobber », chantait Joe Strummer, le meneur du groupe anglais The Clash, en 1980. Ces mots décrivent aussi la situation qu’a vécue Deni Y. Béchard. L’écrivain canado-américain retrace cette expérience dans son deuxième roman, qui a vu le jour après dix-sept ans d’écriture. Le précédent, Vandal Love (2006), n’en avait nécessité que huit.
Après les œuvres de Patrick deWitt, Rawi Hage, Anne Michaels et Sarah Waters, les éditions Alto marquent un autre grand coup avec Remèdes pour la faim1 . . .
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