Décidément, on ne sort jamais déçu de la lecture d’un roman paru chez Sonatine. Et ce n’est pas Blue Jay Way1 qui trahira cette impression plus que favorable. Pourtant, c’est bien connu, tant d’écrivains français se sont cassé les dents à tenter d’écrire ze roman américain.
Le Français Fabrice Colin, ici plus proche parent de Brett Easton Ellis ou de James Ellroy que d’une Fred Vargas, arrive avec une maestria étonnante à échafauder un scénario trompe-l’œil tordu dont semblent avoir le secret des cinéastes du calibre . . .
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