Depuis toujours à l'écoute de Daniel Poliquin, François Ouellet est, plus que quiconque, en mesure de porter un jugement juste, pénétrant et audacieux sur l'œuvre frémissante de Daniel Poliquin.
Non seulement il sait tout de la production de l’auteur, mais encore il scrute avec la délicatesse requise le lien entre Daniel et son père, Jean-Marc Poliquin. L'analyse de Ouellet dans La fiction du héros1 connaîtra ainsi deux registres : d'une part, le rôle du parricide dans la littérature ; d'autre part, la place de cette constante littéraire dans le parcours de Daniel Poliquin. D'autres aspects attireront cependant l'attention de Ouellet. Par exemple, le désir de vie nouvelle qu'éprouvent les personnages de Poliquin, ou encore la culpabilité que combattent nombre d'entre eux avec un succès souvent limité.
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