Pareillement à Marguerite Duras, connaître l’œuvre d’un artiste me suffit. Aussi bien, avant de lire La passion suspendue1, je ne connaissais rien ni de la vie ni de la pensée de l’auteure de L’amant, bien qu’elle ait, semble-t-il, multiplié ce genre d’entretiens et autres formes de confidences de soi.
Je viens donc de découvrir avec enchantement une femme exceptionnelle dont la vie, la pensée et l’œuvre sont tricotées serré avec les fils d’une même passion incandescente.
Comme le montrent la pertinence et la rigueur de ses questions et commentaires, Leopoldina Pallotta della Torre connaît à fond l’œuvre de Duras, autant cinématographique et théâtrale que littéraire. Une œuvre qu’elle aime . . .
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