Dessiner les rapports complexes entre des personnages et leur époque est l'apanage des grands romanciers. Sándor Márai est de ceux-là, qui allie subtilité dans l'analyse psychologique et force dramatique dans l'évocation de la culture européenne que la guerre conduit à sa fin.
Vision pessimiste ou constat ? Que peut-on, dans ce désastre, et que doit-on sauver ?
Approches : Budapest 1945
Libération1 (paru en 2007) a été écrit au lendemain et même, pourrait-on dire, dans l'événement . . .
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