Dans Vacuum1 et Origines2, Christian Mistral nous entraîne dans le labyrinthe de son écriture. Le lecteur y trouvera à coup sûr le Minotaure. Quant au fil d'Ariane, semble dire l'auteur, on verra en temps et lieu.
Ils ont été des milliers à lire son journal sur la Toile, ou blogue, jour après jour, du 31 mars au 31 décembre 2002. Au départ, l'idée est séduisante. Mais le syndrome Loft Story guette : le public voyeur veut des drames, des larmes, des tripes sur la table (si possible du sexe), et finalement, au jour le jour, on se rend compte que la vie des « stars » est aussi banale que la nôtre. Excité par l'idée de pouvoir surveiller le tout en direct sur Internet, on se branche, on observe, puis on bâille après trois minutes et . . .
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