« Personne n'accéderait à la science en ne percevant, à chaque étape, que des ruptures par rapport à ce qu'il pensait auparavant. On n'entre dans le pays des idées scientifiques qu'à la condition d'y reconnaître des parentés avec les idées de sens commun que l'on quitte. Par après, on revient en arrière, pour vérifier les ruptures et sonder les soubassements du territoire nouveau où l'on s'est implanté ; une fois rendu à destination, on s'adonne à l'épistémologie. »
« La raison en qu . . .
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