La question peut paraître provocante mais elle se justifie... Mes amis amateurs de romans policiers me trouvent masochiste, ils se moquent de moi, affirmant que je perds mon temps. Certains vont même jusqu'à me trouver héroïque... Ma faute ? Ma très grande faute ? Je lis des polars québécois ! Pour eux, c'est soit de l'apostolat, soit de la sottise pure et simple.
Car ils sont péremptoires : le roman policier québécois, s'il existe, est nécessairement médiocre et sans intérêt. Il . . .
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