Nombriliste comme tous les peuples vulnérables, enclin à n'imaginer aucun analogue à son cheminement, souvent privé ainsi de parallèles stimulants et de comparaisons éclairantes, le Québec publie pourtant et reçoit de l'extérieur de quoi se sentir membre à part entière de la famille humaine.
J'aurais préféré, je l'avoue, que José Luis de Vilallonga dans La sabre du Caudillo1 se fasse moins plaisir et songe davantage à nous. Noble noblement instruit des usages, détenteur d'anecdotes superbement méchantes dont il ne révélera . . .
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