Trois livres, trois univers, trois systèmes de références, mais le même regard. Insistant, exigeant, presque clinique et pourtant si débordant de compassion.
Paule Noyart raconte en femme qui ne s'en laisse pas conter. Elle n'en raconte que mieux la vie qui coule, pleure ou aime derrière la vie offerte aux regards plus superficiels ou plus complaisants.
Dès La Chinoise blonde1, le regard est là, qui débusque. Antoine, comédien de métier, de tempérament et de calcul, pense aimer sa femme. Il . . .
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