« Je ne connaissais rien de la vieillesse. Ève m’a embarquée dans l’Antarctique », écrit Hélène Cixous dans son dernier livre, Homère est morte (Galilée). L’écrivaine y raconte les derniers jours de sa mère dans une sorte de journal d’un deuil annoncé. Outre la permutation des rôles dont elle parle, la fille devenant la mère protectrice, elle fait également ce touchant constat : « Lorsqu’on perd un parent, on perd l’enfant qu’on était pour lui ».
Une mère
publié le
8 mai
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