Transfuge, Robert Dickson a abandonné, dans les années 1970, sa culture anglo-canadienne pour adopter à bras ouverts la langue française et la culture francophone.
Après son arrivée à Sudbury, à l’été 1972, où il a obtenu un poste de professeur à l’Université Laurentienne, il devient l’un des principaux acteurs de l’institution littéraire franco-ontarienne. (…)
Lisez ici l’article de Lucie Hotte qui retrace le parcours littéraire de Robert Dickson.