Il vient d’être remis à Marguerite Andersen pour son récit La mauvaise mère (Prise de parole). À la manière de Jean-Jacques Rousseau dans ses Confessions, l’écrivaine torontoise d’origine allemande revient sur les épisodes moins heureux de sa vie, s’excusant auprès de ses enfants de ne pas avoir été « une bonne mère ».
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