J. M. G. Le Clézio ne manque pas d’éloges pour parler du premier livre de Frederika Amalia Finkelstein, L’oubli (Gallimard). « Sa voix singulière inquiète et appelle. On l’attendra. On l’entendra », dit-il à propos de cette jeune auteure de 23 ans racontant l’histoire de la petite-fille d’un Juif ayant quitté la Pologne juste avant la Shoah. Elle rencontre un soir nulle autre que la petite-fille d’Adolf Eichmann.
NUIT BLANCHE
J. M. G. Le Clézio ne manque pas d’éloges pour parler du premier livre de Frederika Amalia Finkelstein, L’oubli (Gallimard). « Sa voix singulière inquiète et appelle. On l’attendra. On l’entendra », dit-il à propos de cette jeune auteure de 23 ans racontant l’histoire de la petite-fille d’un Juif ayant quitté la Pologne juste avant la Shoah. Elle rencontre un soir nulle autre que la petite-fille d’Adolf Eichmann.
