Le dernier roman d’André Brink, décédé en début d’année, fait entendre de multiples voix autour d’une esclave du nom de Philida qui osa porter plainte contre le fils de son propriétaire. Ce dernier lui avait fait quatre enfants et promis de l’émanciper avant de renier sa parole. Inspiré d’un épisode de l’histoire familiale de Brink, Philida (Actes Sud) peut également se lire comme une métaphore de l’histoire de l’Afrique du Sud.
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