Catherine Poulain est l’antithèse des écrivains de salon. Préférant les épreuves physiques au confort, cette bourlingueuse de 56 ans publiait cet hiver un premier livre qui n’est pas passé inaperçu. Décrite par certains comme l’héritière de Melville, elle raconte ses dix années en Alaska et la vie d’homme qu’elle a menée sur un bateau de pêche. Son récit, Le grand marin (L’Olivier), a fasciné la critique par son style rude et incandescent.
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