Dans Eva (Stock), Simon Liberati fait l’éloge de son épouse, sa « Nadja », une femme à plusieurs visages dont les variantes se déclinent, entre autres, sous la forme d’un « monstre chéri » ou d’une « Justine de Sade ». Cette identité paradoxale s’expliquerait en partie par une enfance troublante alors qu’elle posait pour sa mère, la photographe Irina Ionesco.
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