Dans son dernier roman, L’école du mystère (Gallimard), Philippe Sollers aborde les sujets de la singularité (par opposition à la norme qu’impose la société) et de la beauté que peu de gens auraient véritablement la capacité d’apprécier. Il y oppose deux types d’apprentissage : d’un côté celui, normatif, qui comprend l’étude et les examens et, de l’autre, une progression qui est le produit du mystère, d’un univers clandestin auquel participent le sommeil, le rêve et la sexualité.
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