Pour son premier roman, Émilie Choquet a choisi de briser le tabou qu’est la dépression post-partum en relatant dans une prose intimiste les épisodes psychotiques d’une nouvelle mère.
« Dans cet espace, le contact est rompu, entre soi et le réel, entre gauche et droite, entre hier et demain, entre jour et nuit. C’est l’envers du décor, l’incertitude d’exister. »
Dans ce récit, qui se rapproche fébrilement du journal personnel, l’autrice appréhende les distances entre ses espoirs et sa réalité, entre la théorie et les désenchantements. De ces écarts est né Un espace entre les mains, en librairie le 14 janvier.