L’occasion s’y prêtait : l’année 2017 marquait le 150eanniversaire de la mort du poète, critique et essayiste.
N’étant pas du nombre, je laisse aux baudelairiens patentés le soin de juger en spécialistes le monumental ouvrage de Marie-Christine Natta, avec ses 750 pages de texte bien serré, ses 90 pages de notes et les 15 pages de bibliographie critique. Une brique, quoi. Quant à moi, en amateur éclairé, passionné d’écrits intimes et de vies d’écrivains, j’ai pleinement apprécié cette redécouverte d’un monstre sacré. J’ai . . .
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