L’écrivaine et la mort
Plongée dans une nuit sans fin où l’aube, la lumière, la chaleur sont interdites, l’ancienne physicienne turque Aslı Erdoğan a préféré la lutte à l’exil, et porte depuis une vingtaine d’années l’écriture tel un bouclier contre la barbarie.
Destin plutôt qu’acte de volonté, elle a choisi son camp, celui de ceux qui souffrent, et s’est rangée aux côtés d’eux, Kurdes ou Arméniens, mères du samedi1, hommes, femmes et enfants blessés, torturés, tu . . .
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