C’est sans complaisance que Caroline Jacques livre un portrait de sa vie d’expatriée en Afrique, plus précisément dans le pays le plus pauvre de la planète, le Niger.
Coopérante volontaire pour une ONG québécoise à titre de juriste en appui aux droits des femmes, elle décrit son courageux parcours de jeune femme (elle a à l’époque 29 ans), blanche, seule, dans ce pays où règnent la chaleur et un dénuement extrême.
Je le signale d’emblée : en tant qu’ex-fonctionnaire international envoyé sur le . . .
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