La très belle couverture de Complots à la cour des papes illustre élégamment les trois novellas de l’écrivain Hans-Jürgen Greif. Représentant un détail d’une des fresques du Siennois Ambrogio Lorenzetti dites Les effets du bon et du mauvais gouvernement, elle appuie la thèse du professeur émérite en littératures allemande et française, retraité de l’Université Laval. Cet Allemand d’origine a consacré son quinzième ouvrage de fiction aux abus de pouvoir exercés par la papauté à la Renaissance.
Greif a choisi des conspirations « qui ont eu pour objectif la mort d’un pape ou celle de son ennemi » pour étayer son propos : « Jamais la soif du pouvoir, la cupidité, l’égoïsme des princes n’ont triomphé aussi insolemment ». Les complots ont eu lieu entre le XIVe et la fin du XVIe siècle, soit du début de la Renaissance italienne à l’apogée de . . .
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