« Après quelques heures de vol, ils atterrirent à Amsterdam. Ils étaient éblouis par tout ce qu’ils voyaient […]. Au bout de huit heures, ils prirent un autre avion, cette fois en direction d’un monde totalement inconnu. Abdulhadi, avec son bagage de vie et ses deux petites années d’école primaire, s’envolait pour le Canada. » En 1994, l’Afghan Abdulhadi Qaderi en exil au Pakistan arrive au Québec. Depuis, il a non seulement appris le français, mais il est devenu titulaire d’une maîtrise en sciences politiques, dont le mémoire portait sur . . .
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