Raphaël Jerusalmy revient, un siècle plus tard, sur une journée qu’Apollinaire a passée dans les tranchées, un carnet de notes ou le Mercure de France à la main. Son roman décrit le poète à la tête étoilée dans les instants précédant sa blessure, pendant qu’autour de lui Les obus jouaient à pigeon vole (Bruno Doucey).
Le sang d’un poète
publié le
1 juin
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