Frédéric Pons jette un regard sans a priori sur un pays en pleine mutation et sur l'ascension d'un homme qui – qu'on le veuille ou non – est en train d'écrire l'histoire de notre temps.
Quand, en 1999, Vladimir Poutine est nommé président intérimaire de la Russie, il hérite d'un État en pleine déliquescence. Après l'effondrement du communisme, le pays a en effet connu une décennie calamiteuse sous Eltsine. Le produit intérieur brut (PIB) a fondu de 50 % et la productivité industrielle du pays n'atteint . . .
Pour lire la suite, veuillez vous abonner. Déjà abonné(e) ? Connexion