En 1999, une Japonaise d'origine faisait une entrée remarquée dans l'univers de la littérature québécoise avec Tsubaki, écrit dans une langue d'adoption qu'elle ne maîtrisait pas encore.
Six ans plus tard, elle obtenait le prix du Gouverneur général du meilleur roman en français pour Hotaru qui clôturait son premier cycle romanesque en cinq volumes d'une centaine de pages chacun. Aki Shimazaki poursuit désormais cette œuvre singulière qui, à travers les destins entrecroisés de . . .
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