Au moment où l'Europe élargie rédige sa constitution et où le Vatican la presse d'y reconnaître sax dette à
l'égard du christianisme, Max Gallo propose sa fidélité et ses choix : l'Europe ne serait pas l'Europe sans Martin de Tours, Clovis et Bernard de Clairvaux.
La confidence dont Max Gallo fait cadeau en entreprenant une autre de ses sagas, Les chrétiens1, est trop émouvante pour ne pas surgir intacte d'un passé mal enterré. À la demande d'un ami qui fait baptiser son poupon, il se rend à l'église pour le première fois en plusieurs décennies. Les souvenirs en profitent pour refluer. Le plus lancinant, c'est celui du suicide de sa fille de seize ans. Trente ans plus tard, le choc n'est pas résorbé. S'est ajoutée à cet ébranlement la désaffection à propos de la foi. Max Gallo, au porche de l'église, en . . .
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