Il est aisé, si l'on n'a lu que Le vierge incendié (1948), de confondre l'art de Paul-Marie Lapointe avec le militantisme esthétique d'avant la Révolution tranquille qui s'est trouvé en convergence avec lui, notamment pour ce qui est du célèbre manifeste Refus global publié la même année.
Si l'on se penche plus longuement sur cette personnalité discrète et qu'on étudie en profondeur son œuvre multiforme, la difficulté de saisir l'ensemble du phénomène apparaît. On se trouve alors . . .
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