« On a le plus grand tort de le ranger parmi les auteurs gais : son rire est amer », écrit Henri Martineau en 1922 à propos de celui qu'il qualifie de « romancier observateur très proche parent d'un Courteline1 ». Romancier gai, romancier moraliste, Pierre Billotey (1886-1932) a travaillé d'une plume légère et sensible l'art sérieux du roman.
Les quatres syllabes d'un bonheur impossible
L'œuvre de Pierre François Billotey est réapparue à la toute fin . . .
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