Il y a des livres par lesquels il vaut mieux ne pas commencer pour aborder un auteur. Par exemple, Face aux ténèbres de William Styron, une œuvre peut-être moins aboutie que les autres, puisque issue d’une conférence, où le romancier américain raconte comment il s’est sorti d’une profonde dépression qui l’a mené au bord du suicide. Il m’a fallu dix ou quinze ans avant d’oublier cette expérience peu concluante et de plonger, par hasard, dans un autre livre du même auteur, celui-là puissant : La marche . . .
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