Lorsque l’on m’a proposé d’écrire dans cette fameuse rubrique, j’ai fait comme je le fais toujours quand on me donne l’occasion de vivre une expérience littéraire ou professionnelle inédite : j’ai dit oui presque tout de suite. Saisir la balle au bond d’abord, analyser en profondeur ce que cela suppose ensuite.
Cependant, au moment de m’asseoir pour rédiger ces lignes, je me dois d’admettre que l’expérience est assez singulière… et qu’elle m’occasionne plus de maux de tête que je ne l’aurais pensé ! En effet, à titre de chroniqueuse littéraire spécialisée en imaginaire, je considère qu’il y a quelque chose d’assez paradoxal dans le fait de consacrer un texte entier à un livre que je n’ai jamais lu – à plus forte raison que j’ai normalement le mandat de promouvoir avec enthousiasme des nouveautés québécoises, et que je le fais surtout parce que les œuvres . . .
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