« Écrire à quelqu’un, notait Pierre Vadeboncœur dans son essai L’absence. Essai à la deuxième personne, c’est souvent vivre avec lui d’une manière plus précise, plus aiguë, à la pointe du sens qu’il y a dans les êtres et qu’on touche par les mots1. »
C’est à cette enseigne que s’inscrit dès les premiers échanges la correspondance de Pierre Vadeboncœur avec Yvon Rivard, ce dernier lui avouant d’emblée qu’il ne le considère pas comme un aîné mais bien « comme un frère dont . . .
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