Le titre du dernier ouvrage de Mathieu Bélisle est sans équivoque, comme l’était celui de l’un de ses essais précédents, Bienvenue au pays de la vie ordinaire. L’auteur pose ici un regard juste et sensible sur la pandémie que nous venons de traverser, nous invitant par le fait même à en faire autant.
À peine après avoir terminé la lecture de Ce qui meurt en nous1, je repense à une entrevue qu’avait accordée, il y a de cela quelques années, Fred Vargas . . .
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