Qu’ont en commun Margaret Atwood, Nicole Brossard, James Ellroy, Louis Hamelin ou encore le pataphysicien Noël Arnaud ?
Voici le deuxième volet de « 40 ans de portraits d’écrivain(e)s », un survol en images – et en quelques mots – de quatre décennies de littérature à l’occasion du 40e anniversaire de Nuit blanche.
Voir aussi le premier volet : Les années 1980.
« Tout le monde est un pataphysicien qui s’ignore »
« Noël Arnaud, Du collège à l’Oulipo », entrevue par Alain Lessard, Nuit blanche, no 49, 1992.
« Est-ce que le problème canadien, c’est le bilinguisme ? »
« L’œil de chat de Margaret Atwood », entrevue par Francine Bordeleau, Nuit blanche, no 42, 1990.
« La post-modernité donne nécessairement lieu à une distorsion des formes »
« L’écriture ‘énigmatique’ de Nicole Brossard », entrevue par Frances Fortier, Nuit blanche, no 46, 1992.
« Je m’arrange et je prends soin de vérifier que j’ai assez de temps pour vivre. »
« Howard Buten alias Buffo. Psy, clown, romancier », entrevue par Guy Champagne, Nuit blanche, no 39, 1990.
« J’écris pour restaurer un ordre moral dans mon propre passé »
« Le plus que noir James Ellroy… Et son éditeur François Guérif », entrevue par Alain Lessard, Nuit blanche, no 44, 1991.
« L’écriture, c’est avant tout un pur désir »
« Irène Frain, Les mots nus du désir », entrevue par Monique Grégoire, Nuit blanche, no 53, 1993.
« Mon projet littéraire, c’est de donner une forme à ce qui n’en a pas, c’est-à-dire le cours de l’existence. »
« Louis Hamelin en trois dimensions », entrevue par François Ouellet, Nuit blanche, no 53, 1993.
« Le plus beau mot de la langue française est le mot ‘anacoluthe’ »
« Richard Jorif. Portrait d’un amoureux du dictionnaire de A à Z », entrevue par Marty Laforest, Nuit blanche, no 40, 1990.
« Les poètes accordent trop d’espace et de temps au présent, sans se soucier de préparer les futurs impérissables »
« Renaud Longchamps. La poésie : la matière », entrevue par Claude Robitaille et Pierre Laberge, Nuit blanche, no 52, 1993.
« Le récit est une façon de déplier notre réalité »
« Gilles Marcotte, Le critique et l’écrivain », entrevue par François Dumont, Nuit blanche, no 38, 1990.
« Je dis que la vérité n’existe pas, que toutes les vérités sont possibles »
« Hélène Rioux, La survenante », entrevue par Alexandra Jarque, Nuit blanche, no 44, 1991.
« On ne peut philosopher que dans le droit fil de sa propre langue »
« Michel Serres. Le philosophe lumineux », entrevue par Jean Carette, Nuit blanche, no 44, 1991.
« Mon monde est celui du peuple, qui chante et rit sans arrière-pensées… »
« Sergi Pàmies et Manuel Vásques Montalbán, La bande sonore de l’enfance », entrevue par Louis Jolicoeur, Nuit blanche, no 48, 1992.