Une traversée en Basse-Côte-Nord, envahie d’attachement, d’empathie et de détermination, qui dit le large, l’absence des pères, la folie des mères qui « ont épousé / l’horizon », le retour à soi.
Pour devenir solide et s’enraciner, pour prendre possession de ce qui nous a construit, il faut se délester, partir et parfois, rentrer à la maison. Le premier livre de Kristina Gauthier-Landry trace cette route. Il s’ouvre sur « Je te cherche comme le fleuve », suite qui fait que le portrait de la vie et du village, à travers un regard . . .
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