L’auteure a bouclé Soifs en 2018, une œuvre imposante entreprise en 1995. Petites Cendres ou la capture reprend un personnage que ses lecteurs connaissent et poursuit indirectement le cycle romanesque.
Qu’est-ce que cette forme narrative dont la particularité saute immédiatement aux yeux ? Un bloc homogène de texte où la ponctuation forte est à peu près absente. Une narration où l’on passe d’un discours intérieur à un autre et à un autre encore, de celui du héros éponyme à celui d’un policier en passant par celui d’un jeune ob . . .
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