L’œuvre de David Wallace tient d’un jeu du Qui perd gagne. Le cercle vicieux existentiel dans lequel sa lecture nous entraîne entend briser nos solitudes en témoignant de ce que le lecteur n’est pas seul à se sentir irrémédiablement seul.Au fil des ans, la critique littéraire y est allée de quelques épithètes génériques corsés pour circonscrire L’infinie comédie(Infinite Jest), roman majeur de Wallace (1962-2008), dont le collègue Patrick Bergeron a rendu compte . . .
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