Ironie ou ineptie, me suis-je demandé en me lançant dans cette randonnée en plein air que nous propose Yan Hamel1, alors que personne ne peut sortir de chez soi ou, dans le meilleur des cas, que la pratique de la distanciation restreint nos déplacements à une misère.
Même l’âme la plus chagrine n’aurait pu imaginer que notre monde contemporain se pulvériserait en un battement de cils. Ou plutôt un éternuement. C’est alors que nous viennent en tête les paroles de Daniel Lavoie : Et si tout doit sauter / S’écrouler sous nos pieds, laissons-nous rêver. Quoi de mieux, toute confinée que l’on soit, qu’un rêve de liberté en forme de chronique lettrée, le nez au vent, les pieds sur terre, le mental en cavale, accompagnée de deux beaux esprits, Yan Hamel et sa Beauvoir.
Dès l’amorce de . . .
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