Il est des écrivains qui, sans faire de vagues, construisent leur œuvre d’un livre à l’autre sans trop se soucier de leur impact, tout en étant persuadés que leur prise de parole répond à un besoin. Le leur, bien évidemment, mais surtout celui de leur peuple.
Ainsi en est-il de Louis Haché.
Il publie Charmante Miscou, son premier ouvrage, en 1974. Il a alors 50 ans. Cette entrée tardive dans la littérature peut s’expliquer en partie par l’absence de maisons d’édition en Acadie : depuis . . .
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